samedi 26 septembre 2015

Baños, Equateur

 Jour 5

26 septembre 2015

Il est 13:30hre et nous venons d'arriver à Baños, dans la région de Tungurahua.
Réveillé à 07:00hre on à déjeuner avec le restant du souper d'hier et comme on dit par chez-nous, on a "pacté nos pti". 
Il faut tout remballer dans nos sacs, tout se qui a sortie, doit rentrer.
Nous quittons en remerciant Aleando pour le bon accueil qu'on a eu et ces précieux conseils.
La chambre c'était bien correct, on a connu pire (pis on s'est pas électrocuté).
Nous partons d'un pas lent, même très lent (j'ai compté et nous marchons a 40 pas la minutes, on est loin de la marche rapide! ).
Là maintenant il faut trouver le bon arrêt de bus.
Nous avons une bonne marche à faire. 
Une dame âgé nous accoste pour nous vendre des épingles à linges.
Pauvre vous! même un épingle n'entre pas dans nos sacs!
Après 45 minutes nous trouvons le bon arrêt pour nous rendre au terminus Quitumbe.
Le problème ici c'est qu'il y a plusieurs autobus qui se rendent au même endroit mais Aleando nous a bien spécifier de prendre l'Ecovia.
Se qui fait qu'on a tourné un peu en rond, tout le monde nous envoyaient dans toutes les direçtions.
<< André! es-tu sur de bien comprendre l'espagnol? >>
<< ........ >>
Le billet de bus est .25 centavos (.25 us) la personne plus .05 pour traverser la barrière??
Le trajet dure 40 minutes. 
Comment je le sais? 
J'étais debout tout le long.
Le terminus Quitumbe est un terminal terrestre très moderne. Il nous ai facile de s'y retrouver. 
Nous nous approchons vers les guichets des vendeurs de billets, il y en a plusieurs en ligne. Ces comics de les voirs gesticuler dans leur cabanon, a crier par le trou de la vitre, debout derrière leurs guichets, voulant qu'on achète de lui mais pas du voisin.
La raison, c'est qu'il y a environs 4 compagnies qui se font concurrence en offrant des transport pour Baños.
Il est 10:00hre et le bus part a 10:20hre duré du trajet 3hres. coût des billets $4.50 chacun.
Nous avons un bus moderne et confortable.
Le trajet se fait bien, les routes sont belles et bien entretenues.
Ça fait du bien de sortir de la ville, voir un peu de campagne.
Le paysage est beau.......mais le plus beau est à venir
A 20 kilomètres de Baños un spectacle panoramique d'une grande beauté s'offre à nous.
En espérant que mes photos soit bonnes, j'en prend beaucoup en circulant.
Je veux immortaliser ces beaux moments et essayé de les partager avec vous.
Ce qui est remarquable, c'est de voir comment tous les parcelles de terrains sont cultivés, même dans les montagnes ou sur le bord des routes.



Nous terminons le trajet le nez collé à la vitre.
Nous avons l'air de grand enfants émerveillés par se que nous voyons.
Arrivé au terminus, direction notre hôtel "le Transilvania" qui se trouve à 10 minutes à pieds. 
Le Transilvania, c'est l'hôtel le plus économique (lire cheap!) qu'on a dégoter.
En voyant la chambre on comprend pourquoi on a payé que $18. la nuit.
Nous avons deux lits jumeaux, salle de bain privé, mais c'est tout.
Pas de bureau, pas même une tablette pour nos brosses à dents.
Quand je dit rien c'est rien.....Non c'est vrai! on a des crochets derrière la portes.
Mais le wi-fi est bon, on a le déjeuner inclus et la vue sur la montagne est merveilleuse.
Faut croire que mon espagnol n'est pas si mauvais. J'ai aider un couple de jeunes Israélien à s'expliquer avec le préposé de l'hôtel qui ne parlait que l'espagnol.
Mais...mon "arable" est affreux.
Après une petite pause, nous sommes parti à la découverte ne notre quartier et à la recherche d'un petit café.
Je crois que nous allons bien aimer cet endroit, je pourrais vous en dire plus demain.
En écrivant ce petit compte rendu, je déguste ma première bière du voyage qui m'a coûté $1.10, la grosse bière.
Nous avons souper dans notre chambre assis sur les lits a manger les restes de bouffe qu'il nous restait.
Vers 19:00hre nous sommes sortie bien emmitouflé pour une balade.
C'est pas très chaud ce soir, on a demandé deux couvertes de lit supplémentaires.
Sur ce, je vous laisse, la fatigue ma poigné.

vendredi 25 septembre 2015

Quito Equateur

25 septembre 2015

Debout a 06:30hre. on pête le feu.
Ce matin nous voulons nous rendre a "la Mitad Del Mundo" qui veut dire "la moitié du monde".
Il semblerait qu'on ne peut venir en Equateur sans se rendre au parc de "La Mitad Del Mundo".
La première première chose à faire c'est de s'informer ou prendre le bon bus.
Aléando nous explique en espagnol comment trouver l'arrêt, c'est pas tellement loin, mais faut le savoir.
Le réseau de transport en commun ici est très efficace. Il y a beaucoup de bus et c'est facile de reconnaître le bon.
Quand arrive l'autobus, non! le bus comme ils disent ici, il s'immobilise dans une cote, pis là, on doit se dépêcher à embarquer, ça traine pas. 
Pas aussitôt embarqué qu'il redémarre. 
Y a pas de place de libre pour l'instant, on doit rester debout.
Je vous ai dit hier que leur bus son manuel, se qui fait qu'à chaque changement de vitesse on en ressent les contre coups, pis la, je vous dit pas comment sont ces arrêts et ces départs.
Moi je prend pas de chance, je suis debout et j'enlace le petit poteau chromé de mes deux bras. J'ai peut-être l'air fou, mais c'est sécuritaire. 
(Si on était pas dans un bus, on pourrais penser que je fais du "pôle dancing").
Dix minutes plus tard des bancs se libère, tant mieux, on en a pour 45 minutes de route. 
Se qu'il y a de spécial dans ces bus, c'est les vendeurs ambulants qui entre vendre leurs produits. 
Il y a eu en premier, le types qui c'est planté debout à l'avant nous a explique pendant dix minutes, les bienfaits de sa crème miracles. Une crème qui est bon pour a peu près 
tous les maux, seulement $1. le petit pot.
Il y a eu après le type avec un cd player accroché au cou, il nous fait écouter le seul cd qu'il a a vendre pour seulement $1. 
Et on a terminer avec le vendeur de "pop cicle".
Enfin! Terminus, tout le monde descend.
J'ai oublié de vous dire, ça nous a coûté .30 centavos (cents) chacun.
La journée est belle, il fait soleil c'est le moment idéal pour se promener sur la moitié du monde.
La Mitad Del Mindo est représenter par un gros monument indiquant les quatre points cardinaux. 
Sur ce monument, l'inscription gravé mentionne que l'on se trouve à la latitude 0.
Une grande ligne jaune tracé sur le sol, traverse le parc. 
C'est la ligne imaginaire représentant l'équateur à la latitude 0, dont un côté se trouve dans l'hémisphère Nord et l'autre l'hémisphère Sud.
Autre que la ligne au sol et le monument, il y avait une belle exposition de photos (à vendre), des magasins d'artisanats, des restaurants et......le planétarium, un tout petit  planétarium ou on nous projète au plafond, un film qui nous parle (en espagnol) de la création de la terre.
<< La prochaine fois qu'on vas dans un endroit de ce genre, faut penser à ne pas se mêler à une classe de jeunes, pis faire certain qu'il n'y a pas de bébés.......j'ai pas été capable de dormir >>
Est ce que la visite de la Mitad Del Mundo, ça vaut le détour?
Ça dépend de chacun, pour $4.50 l'entrée, ça nous mettras pas dans la rue.
Disons que pour faire snob, je pourrais me venter d'avoir marcher à cheval sur les deux  hémisphères.
Le retour par bus, se fait debout. Il est 13:30hre. les étudiants ont terminés leurs cours et les bus sont bondés.
Pour passer le temps dans le bus nous avons eu droit au type qui entre avec un haut-parleur et un micro et qui nous chante des belles chansons latinos. Y a eu également le vendeur de bonbons et de pop cycle.
Cette fois-ci le coût du bus nous a coûté .40 (centavos) chacun.
Des tours de bus comme ça, nous permet de sortir des secteurs touristiques.
Ça nous permet de côtoyer les gens, d'avoir un autre coup d'œil sur les centres ville, voir où ils travaillent, les croiser dans leurs quotidiens quoi!
Pour le peu que l'on connaît des gens d'ici, notre première impression est la suivante.
Se sont des gens réservés, ils n'ont pas le sourires facile et ne vous aborderons pas les premiers. 
Mais lorsque nous les abordons le sourire émerge et le dialogue se fait aisément. 
Se sont des gens prêt à vous aider si vous le demandé.

Pour souper on se paie un "take out" qu'on apporte à notre chambre.
Soupe, riz, poulet ou poisson, légumes et jus pour $5.
Nous n'avons pas tout manger, nous terminerons avec la soupe pour déjeuner demain.
Demain nous quittons Quito, direction "Baños" une petite ville de 20,000 habitants aux pieds d'un volcan, mais c'est surtout "Rio Verde" qui nous attire. 
Pas tellement loin de Baños, c'est un petit coin de paradis dans la forêt que les gens d'ici nous suggère d'aller voir..
Nous quittons donc le Blue Door housing, c'était bien et les gens sont sympathiques, mais il nous faut avancer lentement vers le Pérou. 
Notre visa nous autorise seulement 29 jours dans le pays.

Ha oui! Faut que je vous parle de notre douche.
Le premier jour de notre arrivé, César a tenu à nous expliquer le fonctionnement de la douche.
Il nous montre la douche et nous demande si on connaît ce genre de système a l'eau chaude!!
<< Seigneur c'est quoi ça??? >>
<< Ça c'est la pomme de douche >>
<< La seul fois que j'ai vue quelque chose de similaire, c'était dans un film ou un type se faisait exécuter à la chaise électrique!!! >>
<< Pour avoir de l'eau chaude, il faut ouvrir le robinet de la douche, très, très lentement et lorsque vous entendez un sifflement, la vous arrêté et l'eau vas devenir chaude >>
<< Si vous allez trop vite, ou si vous tournez trop le robinet, vous n'aurez que de l'eau froide >>
<< Ha oui! Ne toucher surtout pas à la douche s.v.p. >>
<< J'avais vraiment pas l'intention d'y toucher, surtout pas debout les pieds dans l'eau >>
<< Pis une douche qui siffle.....ça me rassure pas tellement >>
J'ai bien hâte de voir la prochaine douche!

jeudi 24 septembre 2015

Quito Equateur

Jour 3

24 septembre 2015
Très bien dormi avec la chaufferette et surtout avec les 5 couvertures.....pas de farce 5 couvertures.
Après déjeuner et un café. 
Vous remarquerez que je n'ai pas dit "un bon café", dans notre chambre, on est poigné a boire du café instantané, ça! sa réveil.
Bon, comme prévu nous nous dirigeons à pieds vers la "Basilica Del Voto Nacional".
La Basilica n'est pas tellement loin de notre hébergement, et c'est facile, on descend tout le long pis on arrive.
En approchant nous prenons conscience de l'immensité de cette église qui surpasse tous les édifices voisines.


Nous sommes impressionné par la beauté de son architecture.
C'est en 1892 que débuta sa construction pour ce terminer en 1909.
La Basilica fut béni par le pape Jean-Paul II en 1985.
C'est tours sont d'une hauteur de 78,23 mètres de haut, et la basilique compte 6 horloges (aucune ne fonctionne??)
Mais moi se qui m'a impressionné se sont ces gargouilles, qui plutôt qu'être représenté par des diables, se sont des représentations d'animaux du pays.
Malheureusement, nous n'avons pas pu visiter l'intérieur.
Nous quittons les lieux en direction de la plaza Grande. En cour de route on en profite pour localiser les petits restos ou on pourrait manger des mets typiquement équatorien.
Assis sur un banc de parc à la plaza, nous regardons les gens déambuler, personne n'est pressé, personne ne semble stressé, exception des pigeons qui s'enfuient aux coups de pétard tiré à leur attention.
C'est comme un coup de canon.
Je comprend maintenant pourquoi il n'y a pas de "chiure" sur leurs monuments.
(Si tu t'en attend pas, et que le type viens te pêter ça prêt de toi, c'est toi qui risque de faire.....des chiure!)
Bon soyons sérieux.
Devant un petit café.....mais un vraie bon, nous décidons pour l'après-midi, d'aller prendre le téléphérique qui devrait nous transporter sur le plus haut sommet des montagnes qui entoure Quito.
Demandant à la gentille dame du café, la direction pour si rendre. 
Elle nous conseille de mastiquer des feuilles de coca avant de prendre le téléphérique.
Ça vas éviter les maux de tête et combattre l'essoufflement.
On veut bien, mais on connaît aucun pusher dans le coin!
Pas de problème, elle nous dit, rendez-vous sur la plaza, et qu'il y a des vendeurs partout.
On veut bien, mais comment on vas les reconnaître?
On en a trouvé un, mais......Yé pas bien!........Y crie à tout tête "COCA, COCA".
En hypocrite j'y fais un petit signe de venir me rejoindre derrière la colonne là bas, y a de la police dans le coins.
<< Hé man >>  ( faut que je parle comme eux ).
<< Combien tu demande pour ta coke? >>
( La je vais vous traduire ça de l'espagnol en français )
<< C'est quoi tu veux?.....feuilles, tisane, bonbon, crème pour se frotter? >>
<< Chutttt......parle moins fort, c'est plein de police >>
<< Ben! C'est quoi la différence dans tout ça? >>
<< Les feuilles tu les mastiques ou tu en fait un infusion, la tisane c'est des sachets que tu fais infuser, les bonbons, tu les suces, pis la crème tu frotte tes articulations avec >>
<< Ben...pour $5. je vais prendre deux paquets de feuilles, pis en bonus tu me donne 4 bonbons >>
<< Hombre! T'es dur en affaire, c'est ok >>
<< COCA, COCA >>
<< Attend au moins que je sois parti!!! >>
C'est la que je suis parti en courant.......

L'heure du dîner approche.
Nous trouvons un petit resto très simple, sans flafla et...sans nom. 
Ici les noms ne semble pas important pour ce genre de resto.
Dans le resto, il y a 5 petites tables carrés en bois, avec des banc en bois de chaque côté, et c'est plein de gens.
Quand tu désire dîner, tu regarde les restos qui affiche "almuerzo" qui signifie les spécialités du midi.
La spécialité aujourd'hui?
........On a oublié de prendre les noms des plats.
Il y avait comme entré, une grosse soupe de crèmes de patates (délicieuses) avec un grand verre de jus de.... ché pas quoi, mais très bon, pis le dessert un morceau de gâteau aux bananes (pourquoi le dessert avec la soupe???). 
Viens le plat principal. 
Une assiette de riz blanc, avec légumes au fromage, et poulet pour Manon et une assiette de riz avec légumes au fromage et tortillas a la viande (qui ne ressemble pas au tortillas que je connais??) pour moi.
Le tout accompagné d'une tasse d'eau chaude pour tremper nos feuilles de coca.
Tout ce beau repas nous a coûter $2.50 chacun.
Le ventre bien plein, et la bouche plein de feuille de coca.
On se met à la recherche d'un taxi qui nous conduira au téléphérique.
Ici trouver un taxi, c'est pas difficile, ils sont tous jaune.
Il y a ceux avec taximètre (j'en ai pas encore vue un) et les autre ou il faut demander le prix avant d'embarquer.
Notre chauffeur est un vieux monsieur sympathique. 
J'ai constater que tous les véhicules ici sont manuel!
Je lui demande pourquoi? Il me répond qu'il y a trop de côtes abruptes et que les véhicules a transmission automatique brisent souvent???
Une chose est certain avec les côtes qu'il y a ici, les compagnies de freins doivent faire fortune.
Arrivé au pied de la montagne, lorsque l'on embarque dans le téléphérique, on se croirait dans un centre de ski (neige en moins).
On ne vois pas le haut de la montagne. 
Faut pas oublier que nous sommes dans la Cordillère des Andes. 
Plus nous montons et plus nous sommes émerveillé par le paysage qui s'offre à nous.
La montée dure 20 minute et nous grimpons à 4050 mètres d'altitude.
(On a pas pris de chance, on a sucer chacun bonbon de coca. Les bonbons c'est meilleur que chiquer des feuilles, ça je peu vous le garantir).
Du haut de la montagne la vue sur Quito est impressionnante. 
Quito est la capital de l'Equateur et c'est quand même une ville de 2.1 millions d'habitants.
Du côté opposé de la ville, nous avons une vue magnifique sur une partie de la Cordillère des Andes.
On se balade sur le haut de la montagne et l'on ressent l'altitude lorsque nous empruntons les petits sentiers. 
On a le souffle court, l'on doit s'arrêter souvent pour récupérer.
Vers la fin de l'après-midi,  il commence a faire froid et le vent se lève. 
Les employés sont emmitouflés dans de gros parkas et porte des tuques, alors que nous sommes en petit chandail. Faut dire que nous on redescend et que eux restent en haut.
Pour ceux que ça intéresse, la balade en téléphérique en vaut le coût ($8. par personne, pour les gens.....un peu plus matures comme nous c'est $6.50).
Côté négatif à cette balade, ce sont les infrastructures a la base du téléphérique un mini parc d'attraction, qui n'est plus entretenus et laissé à l'abandon.
La journée bien remplie, nous sommes de retour à notre chambre...fatigué.


























mercredi 23 septembre 2015

Quito Equateur

Jour 2

23 septembre 2015
On a très bien dormi, une chance qu'on avait plusieurs couverture, c'était pas chaud.
Il est 08:30hre lorsque nous partons à la découverte du vieux Quito appelé aussi la ciudad historico. 
César nous recommande de boire beaucoup d'eau et de marcher lentement.
C'est sur qu'on vas marcher lentement, on est toujours dans des côtes.
Il fait beau soleil avec des passages nuageux, nous allons être bien pour marcher, mais pas de pantalons court, il fait 23 celcius.
Pour se rendre dans la ville historique, nous empruntons la "calle Cuenca".
Cette rue descend en tabarouette, pour près d'un kilomètre, les freins à fond.
Après 45 minutes de marches, les espadrilles en feu, nous débouchons sur une plaza, c'est ici que ce trouve l'église San Francisco connu comme étant la plus belle église de l'Amérique du Sud (selon les équatoriens).

Je peut vous dire qu'ils n'ont pas tort, l'intérieur est impressionnant avec ces sculptures, ces tableaux et que dire de l'immense autel, une vraie œuvre d'art.
Par la suite on se dirige vers la plaza Grande ou se trouve palais municipale.
Nous nous assoyons dans le parc devant le palais et regardons passer les gens. 
Nous avons fait une constatation.......personne ne marche vite.
Faut avouer qu'on arrête souvent pour se reposer, on a le souffle un peu court, mais ça vas bien.
La ville historique est belle à voir avec ces vieilles bâtisses bien entretenues, ce sont tous des bâtisses dont la matière première est le béton et le ciment.
Nous visitons une autre église, la Merced, elle est très jolie, mais pas autant que l'autre.
Faisons une mise au points tout de suite. 
C'est pas par ce que nous visitons des églises, que nous sommes devenus plus catholique que le pape. 
Mais pourquoi pas visiter des églises. 
Nous sommes possiblement sur la partie du continent la plus catholique du monde et nous le voyons bien.
Nous avons visités plusieurs mosquées et temples bouddhistes en Asie et je dois vous dire que la richesse artistique de ces églises n'ont rien à envier aux plus beaux temples d'Asie.
C'est décidé, demain nous allons visiter la Basilica Del Voto Nacional dont nous voyons ces clochers pointer a l'horizon.
Viens l'heure du dîner, nous voulons essayer un mets du pays.
Nous arrêtons notre choix sur un bon bol de "cevichocho", ça ressemble à une bonne soupe appétissante. 
Il s'agit de fèves blanche avec grains de maïs sèche, morceaux d'oignons, tomates et lard, le tout recouvert de morceaux de bananes séché, et pour finir on y verse un bouillon de je ne sais quoi, mais, froid. 
Nous qui pensions manger une soupe chaude!
Pour agrémenter notre plat, je fais comme mon voisin. Il écrase une demi lime dans ça soupe et l'arrose de moutarde et ketchup???
Bon je fais de même, mais pas de ketchup. 
Surprise, j'ai tout mangé....sauf les morceaux de lards, du vrai cuire. 
Avant de retourner à notre chambre, nous achetons une petite grocerie pour nos repas et nous nous arrêtons pour un bon café.
Pour le retour nous devons remonter la "calle Cuenca"....demain je pense que je vais mettre mes bottes d'excursion.

Il est 14:30hre lorsque nous arrivons à notre chambre, fatigué, les jambes mortes.
Nous cuisinons notre repas dans la petite cuisinette commune et après on se repose.
La soirée vas être tranquille.
Ha oui! la température doit baisser à 9 celcius cette nuit, une petite chaufferette ne seras pas de trop.
























mardi 22 septembre 2015

C'est un départ.

Hé oui, nous voilà reparti. Pas capable de rester en place. Cette fois-ci c'est une balade en Amérique du Sud. Nous arriverons à Quito en Equateur, et par la suite nous prévoyons nous diriger lentement vers le Pérou, traverser la Bolivie, pour arriver au Chili. C'est de la que nous commencerons notre descente vers la terre de feu, en passant par la Patagonie pour émerger a Ushuaia en Argentine, la ville la plus austral du monde. De la nous prévoyons remonter le pays, traverser l'Uruguay pour arriver au Brésil ou nous terminerons notre balade. 
Combien de temps serons nous parti?
Nous espérons pouvoir faire cette petite balade en 6 mois.
Comme vous pouvez voir ce n'est pas une itinéraire très détaillé, sujet a changement, et c'est ça qu'on aime. 
Le cachet aventure du voyage, c'est cette partie inconnue.
Ne pas savoir d'avance, découvrir au fil de notre route qu'il faut prévoir....l'imprévisible. 
La seul certitude c'est la date et l'endroit de notre arrivé en Equateur.
Pour la suite, c'est au gré de nos pulsions.
Notre planification se fait seulement deux jours avant et nous voyageons avec les moyens que nous offre le pays du moment.
Pour se qui est de l'hébergement, nous allons privilégier les chambres chez l'habitant, cela favorisera le contact, et évidemment....c'est moins cher.

Le plus difficile dans les voyages, c'est de faire le premier pas pour franchir le seuil de la porte.





Jour 1

22 septembre 2015

Debout a 05:00hre nous quittons notre motel pour l'aéroport de Montreal.
C'est là que commence la partie la moins interessante du voyage, les attentes interminable dans les aéroport.
Ceux qui prennent l'avion le savent, arriver 3hre avant le départ, faire la file pour le comptoir à billets, faire la file pour passer les portes de contrôle, faire la file pour le contrôle des bagages à mains, et nouveauté pour moi cette année......les culottes a terre.
Un agent de sécurité (tsé celui qui se tiens de l'autre côté des portes électroniques avec un bâton qui fait bip bip) bon bin celui-là, me demande de le suivre dans un isoloir, il me demande de baisser mon pantalon, fallait si attendre, il désire voir mon......attèle qui protège mon genoux.
(J'aime mieux ça par ce que moi chu pas trop bon pour une danse a $10.)
Vas falloir que je m'y fasse, ça pas fini de sonner dans les aéroports.
J'ai un attèle fait de té..ta......nium (quelque chose comme ça) au genoux gauche, pis leurs machines détecte le....nium. 
Pour ceux qui ne le savent pas, c'est juste que mon genoux a un peu d'usure.
(Pis non, c'est pas a cause de l'âge....ça doit être le trop d'entraînement).
Se qui fait que j'avais le choix entre ça ou une canne de pépère, vous imaginez bien que le choix n'a pas été trop difficile.
Mais leur isoloir c'est simplement quatre panneaux dans le centre d'un grand corridor à la vue de tous.
Les panneaux ne sont pas tellement haut, se qui fait que ma tête et les épaules dépassent.
Voyez vous la scène, les gens nous voient debout dans un isoloir, tout un coup, je disparaît pour baisser mon pantalon, je me redresse et c'est au tour de l'agent de disparaître des regards, mais lui reste un peu plus longtemps penché. 
Ça fait sourire des gens.....surtout Manon qui me demande (d'un air sarcastique) se qu'on faisait dans l'isoloir?
.........Comme si tu le savais pas.
Nous quittons Montreal à 09:30hre à destination de Panama, où nous y effectuons un transfert et une heure plus tard nous repartons pour arriver à 17:15 à Quito en Equateur.
Une petite balade d'avion facile. C'est juste à côté, quoi!
C'est pas comme l'an passé ça nous avait pris deux jour pour se rendre en Asie.
Mais on est content quand même d'être arrivé.
Le vol d'approche vers l'aéroport de Quito était magique, nous survolions les montagnes, nous avions une vue magnifique.
Après les formalités d'usage a l'aéroport, nous achetons deux billets de bus pour se rendre au centre ville de Quito.
Il faut compter une heure pour nous rendre, et la balade est "écoeurante".
Ce n'est que montagnes a perte de vue tout au tour de nous, la route descend, monte, tourne, et remonte nous longeons de profond précipices, le paysage est époustouflant. 
Pis dire qu'on viens juste d'arriver. 
On viens juste de quitter l'aéroport.
J'aurais bien aimé prendre des photos pour vous montrer cette route de montagne, mais la noirceur tombe rapidement.
Nous entrons en ville sous les lampadaires, toutes les maison semble construite en ciment. Comme dit Manon, ça ressemble beaucoup à Cuba.
Mais à Cuba, y a pas autant de côtes.
Le bus nous débarque au "parque bicentinario" ici nous devons prendre un taxi qui nous conduira à notre "casa" dans la vieille ville.
Pas facile à trouver le Blue door house, mais on a un bon chauffard.
Les gens sont gentils, malgré notre réservation, il ne semblait pas nous attendre!
Pas de problème, on nous a remis une chambre avec petite dînette, tout se qui a de plus rudimentaire, mais très sympathique.
César le père de Aleandro (le propriétaire) a tenu à venir avec nous a l'épicerie et nous a expliqué les rues à emprunter demain pour visiter la ville historique.
Je sais pas si vous savez, mais je vous ai tu dit qu'il y a des côtes ici. Pis pas des petites, je sens qu'on vas se muscler les jambes. On vas faire du trek en ville.
Bon c'est assez pour ce soir, nous sommes fatigué, pis on veut être en forme pour demain, je vais commencer a prendre des photos pour vous gâter un peu.