vendredi 30 octobre 2015

Machu Picchu Pueblo, Pérou

Jour 38

30 octobre 2015
C'est aujourd'hui que l'on part pour le Machu Picchu.
On viens nous chercher à notre hôtel a 08:30.
Pas besoin de mettre notre réveil, y a un.......tabar.....nouche de chien qui vient japper sous notre fenêtre tous les matins.
Si j'y met la main au collet....
J'ai déjà manger du chien, avec une petite sauce c'est pas méchant......
Mais comme de raison, quand on sort dehors y a disparue.
Nous laissons nos sacs à dos en consigne à notre hotel, nous revenons ici après le Machu Pichu.
A l'heure prévu on viens nous chercher à l'hôtel, pour nous conduire au mini bus qui lui doit nous conduire au train.
Mais le train se trouve à Ollantaytambo et pour nous y rendre nous avons pour une heure trente de route.
Cusco malgré c'est 3,400 m d'altitude, se trouve dans une vallée.
Pour sortir de la ville il nous faut grimper sur les hauteurs et pour y parvenir, notre chauffeur a du tricotage à faire. 
J'aurais bien aimé avoir une belle photo de la ville en plongé, mais oubliez ça! Avec tous ces virvoltages, j'en ai pas une de réussit.
En banlieue de la ville ce n'est pas se qui est le plus beau, mais lorsqu'on s'éloigne, la campagne nous fait oublier l'agitation de la ville.

Arrivé à Ollantaytambo, nus nous rendons à la gare pour prendre notre train qui quitte à 11:15hre exactement. 
Nous prenons la compagnie Inca Rail, nous en avons pour 88 km. soit 1:40hre à nous laisser transporter entre les montagnes, dans la Vallée Sacré des Incas.
Le train roule très lentement en longeant la rivière "Urubamba".

La vue est magnifique avec cette rivière aux pieds des montagnes, et les nuages à leurs sommets.
On ne se lasse pas d'admirer le paysage.
C'est vers 13:00hre que nous arrivons a "Machu Picchu Pueblo" anciennement "Aguas Calientes".
Selon certain commentaire de gens il paraît qu'il n'y a rien à faire ici, sauf pour se rendre au Machu Picchu.
Après avoir rejoint notre guesthouse "Encanto", nous partons pour découvrir la ville. 
Il n'y a peut-être rien d'autre comme activité, mais peut-on vous dire que c'est ravissant. 
On aime bien, avoir su nous serions resté deux nuits ici.
Ce petit village se trouvant aux pieds de montagnes abrupte, est traversé par une rivière ce qui lui donne un certain cachet 



Qu'importe ou l'on se trouve dans la ville, nous avons une vue sur les montagnes.
On vois bien que c'est une ville touristique, c'est plein de restaurants, de gîtes et de vendeurs de toute acabit, c'est un incontournable pour les gens désirants voir le Machu Picchu. 
Tous doivent passer par Aguas Calientes pour prendre le bus ou encore débuter leur trek vers le site.
Je vous en ai assez dit pour ce soir, on doit se lever tôt, demain on prendre le bus a 05:30hre du matin.



jeudi 29 octobre 2015

Cusco, Pérou

Jour 37

29 octobre 2015
Le levé du corps est difficile ce matin.
Manon est poignée avec une sévère migraine. C'est à mon tour de jouer à l'infirmier.
<< Faut en prendre soin de ces petites bêtes là! >>
!!! Aucune réaction de ça part ???
<< Est vraiment malade...... >>
Serait ce l'altitude ou le pisco?
J'opterai pour le mal d'altitude, Cusco est à 3,310 m.
Il faut soigner ça aujourd'hui, demain nous partons pour le Machu Pichu et il faut être en forme.
Après avoir obtenu d'une pharmacienne un médicament, Manon reste une bonne partie de la journée couché, alors que moi, je suis parti me balader dans les rues de Cusco.
Avant que vous me traitiez d'ingrat, je vous ferais remarquer que c'est Manon qui a insisté pour que je sorte.
À croire qu'elle n'aime pas mon travail d'infirmier!
Ou, c'est mes farces plates qu'elle n'aime pas.
Se qui fait que je suis parti seul découvrir le quartier historique de Cusco.
C'est grand, il y a beaucoup de vieilles édifices, c'est plaisant d'arpenter ces rues.




Je suis inquiet pour Manon, ça fait trois heures que je suis parti.
Quand j'aurais fini mon capuccino et je vais me diriger rapidement vers notre hotel.
Mais évidemment, je ne peu pas m'empêcher de prendre d'autre photos.


Arrivé à la chambre, surprise! Manon est debout et se porte bien.
Ouf! C'est bon signe pour demain.
Une chance qu'elle a un bon infirmier!










mercredi 28 octobre 2015

Cusco, Pérou

Jour 36

28 octobre 2015
Beau soleil ce matin, mais, il fait pas chaud la nuit.
Nous avons plusieurs couvertures pour dormir.
Bon nous partons avec un beau soleil, à la recherche du comment faire, pour se rendre au Site de Machu Pichu par nos propres moyens.
Nous repassons par la place d'arme.



C'est de toute beauté avec ces deux églises et les montagnes que l'ont voit au loin.

Nous essayons d'organiser par nous même notre transport jusqu'au site.
Peine perdu, tout est fait de façon à prendre une agence pour nous rendre sur place.
S'organiser nous même, reviens au même prix pour tout le trouble qu'on se donne.
Saviez-vous que le train Inca Rail que l'on prends pour s'approcher du site du Machu Pichu, est l'un des plus cher du monde, nous prenons des billets économiques pour un trajet d'une heure et demi, valeur $120. US chacun et les première classe sont $630. US.
Bon c'est décidé, on vas prendre une agence, là c'est laquelle on choisi!.
Encore une perte de temps pour t'apercevoir que les prix sont sensiblement les mêmes dans tous les agences. 
Je vous avais dit qu'il faisait beau soleil.....bien là, il pleut averse.
C'est fait nous avons réservé pour un départ vendredi et retour samedi.
On a bien hâte de voir ce fameux site.
Pour le reste de l'après-midi on s'est reposé (il pleuvait).
Lors d'une de mes sortis j'ai rencontré Patrick et Sylvie, nos amis Franças que l'on a croisé à Huaraz.
On s'est donné rendez-vous dans un petit café pour jaser voyage.
Une autre petite journée relaxante.
Faut dire à la quantité de tisane de coca que l'on boit, y a de quoi être relaxe.

Lima, direction Cuzco, Pérou.

Jour 35

27 octobre 2015
Nous avons passé une mauvaise nuit.
Dans les environs de notre chambre, nous avons hérité d'un groupe de jeunes étudiants dans les 11 à 13 ans.
C'est certain que pour eux c'est le party, on est tolérant, mais a 23:00hre. C'est assez tard.
Ça crie, ça cour dans les corridors, dans la chambre en face de nous, c'est la bataille a coup d'oreillé.
Chu peut-être vieux jeux, mais y a des limites. 
Il ne semble y avoir aucun adulte avec eux?
J'ai joué le vieux aguissable. A deux reprises je les aient aviser en leur faisant des gros yeux. 
Mais, ça marche pas (Manon a bien raison de dire que je l'impressionne pas quand j'y fait des gros yeux!)
Mais à minuit, le vieux aguissable est tanné, j'ai été aviser la direction.
Comme on dit chez-nous "casseux de party".
Ce matin 06:30hre. la garderie est réouverte.
Pas mécontent de partir d'ici.
(Bon! j'ai fait une autre monté de lait)

Là c'est autour de notre "ride"de taxi.
Nous devons prendre un taxi pour nous rendre à l'aéroport de Lima, 30 à 45 minutes de route.
Des taxis c'est pas ça qui manque ici, mais les 3 premiers taxis qui s'arrête, aucun n'a
le permis pour se rendre à l'aéroport, ça je savais pas.
Le 4e c'est le bon. 
En s'assoyant, il nous dit de s'attacher. 
Ça! Pas de problème.
On connaît ça. Les chauffeurs de taxi des grandes villes du monde, c'est tous d'anciens cascadeurs. Ça fait qu'on s'attache.
Le notre ne fait pas exception, yé sérieux, pis c'est pas un jaseux.
Le seul mot qui a dit tout au long du voyage c'est "cinturon" en partant.
De toute façon, j'aime mieux qui se concentre sur la route.
Je l'avoue candidement, jamais je ne conduirais dans une méga-ville comme ici.
Quand on part, c'est comme le "go" pour la course, faut faire vite, pourquoi? 
Je sais pas, possiblement pour pouvoir passer à un autre client.
On dirait qu'ils se dépêchent tous pour arriver à l'intersection avant que la lumière ne passe au rouge.
Pis ça c'est quand ils arrêtent sur la rouge. 
Notre chauffeur est fort la dessu, on a 2 rouge de sautés à notre actif, et j'ai arrêté de compter les jaunes "orange foncé".
Nous sommes immobilisé a un feu rouge, nous sommes le 5ème derrière le premier de file. Le feu change au vert, c'est immédiatement le concerto pour Klaxon, notre chauffeur si met également de la partie....."donnez y une chance!"
 Ce qui est amusant c'est de voir que personne ne veut cèder devant l'autre.
S'il y a un trou, c'est premier arrivé.
Question de feux clignotant, c'est pas une nécessité ici. 
C'est continuellement dès changement de voies, sans signaler, on part de la 4e voie de gauche, pour se rendre dans la 1e de droite et ça d'un seul trait. 
Ça c'est à part des fois oû y roulait à cheval sur deux voies.
Concernant le véhicule, c'est un Hyundai pas très agé, belle apparence extérieur, pas bossé (ce qui nous a mis en confiance).
Mais l'intérieur est à l'image de tous les taxis de grandes ville, sièges défoncés et amortisseur.....qui n'amortisse plus.
L'important c'est qu'on soit arrivé à l'aéroport, sain et sauf.
Des fois j'aurais tendance à faire comme le pape, embrasser le sol en sortant des taxis.

A l'aéroport pas de problème, nous sommes même surpris de la petitesse de l'aéroport pour une ville de 8 millions d'habitants?
(Tant mieux, j'aime pas les aéroports)
Nous avons réservé avec la compagnie LC PERU.
J'aurais dû y penser, une compagnie péruvienne a quoi on a pensé!
Les espace ont été calculé selon le standard de la taille des péruviens.
J'ai les 2 genoux collés sur là banc avant, mon voisin est Péruvien, il a 6 pouces d'espace entre ces genoux et le banc.
Pis le type devant moi, décide de vouloir incliner son banc.
J'ai été obligé de lui taper sur l'épaule et de lui dire, d'oublier ça.
Une chance qu'on a seulement une heure trente de vol.
En approchant de Cusco, vous devriez voir les paysage de montagnes qui s'offrait à nous.
J'aurais bien aimé prendre quelque photos, mais nous n'étions pas près des hublots.

Enfin Cusco, depuis le temps qu'on en parle.
C'est une ville de 400,000 habitants, mais c'est surtout une ville touristique avec son quartier historique et tout ce que les environs ont à offrir.
Mais en premier faut trouver une chambre.
On se fait débarquer dans le quartier San Blass, on a trouvé sur internet un petit hotel pas cher. Mais arrivé là, les prix ne sont plus les mêmes.
Au 2e essai nous dégotons une chambre à 60 sol ($24.18) au guest house Indigo.
Le seul hic! C'est que pour se rendre à notre Hotel nous avons plusieurs marches à monter, et l'altitude nous affecte.
 
Nous gravissons les marches très lentement et reprenons notre souffle.
Après notre pause, nous sortons à la noirceur pour visiter les environs.
Je vous en parle demain.
Mais pour ce soir, je vais juste vous dire:
"Qu'on vas bien aimer ça ici"





mardi 27 octobre 2015

Lima, Pérou

Jour 34

26 octobre 2015
Cette avant-midi je pars seul à la découverte de nouveaux quartier.
Manon a décidé de rester à la chambre se reposer et faire des recherches pour une chambre à Cuzco.
Hier, nous avons prit une décisions. Ne trouvant pas de belles heures de départ pour le bus, nous avons décidé de prendre l'avion pour nous rendre à Cuzco.
Le vol Lima - Cuzco dure une heure trente, alors que par bus, à la vitesse que nous le faisons, ça nous auraient bien pris 4 jours.
Bon je disais donc que je suis parti seul. 
Le boulevard oû se trouve notre hotel est très animé ce matin, les gens ont repris leur quotidiens.
Les gens sont pressé, vous devriez les voir marcher et surtout les voir rouler.
Nous sommes sur un boulevard à 6 voies, il y a les "inspector municipale de transporte" debout  le long du boulevard, espacé d'environs 150 pieds entre eux, ils ont tous un sifflets et agitent les bras pour faire circuler les véhicules plus rapidement.
C'est quoi l'idée?
Bon! Je suis parti seul, direction le Chinatown.
Comme toute grande ville, il y a un Chinatown, je m'attendais à se qu'il soir gros!
Mais non, il y a une simple petite rue piétonnière.
Mais tout autour, c'est le quartier populaire, là ça bouge en grand!
J'aime me promener dans ces quartier, mais à la longue le bruit et l'agitation, c'est pas relaxant. 

Après une heure j'en ai assez, je me dirige vers la place d'armes, ça devrait être plus tranquille qu'hier.
En n'approchant de la place d'armes, je constate que les rues sont encore interdit aux autos et qu'il y a plein de policiers.
Ce n'est qu'arrivé à la place d'arme que je m'aperçois qu'il se mijote quelque chose.
La rue devant le Palais du Gouvernement est interdit, même aux piétons, personne ne passe.
Dans la cour du palais, des soldats en habits de cérémonie sont au garde à vous.
La foule s'attroupe, attendant, je ne sais quoi.
Au loin on entend de la musique se rapprocher, une musique entremêlé de cliquetis.
Nos regards attirés par le son, nous permet de voir surgir entre les édifices
de fiers cavaliers sur leur destriers, revêtant de belles uniformes, coiffés de casques métalliques brillants avec éclats sous le soleil. 
(En réalité c'est nuageux, mais ça fait bien dans la phrase!)
Les cliquetis des sabots ferrés entre-choquant le pavé de la place d'armes, s'entre mêle a la musique de la fanfare à cheval.
Ce groupe de soldat à cheval, précède une voiture noir d'un personne d'importance. 
(Je présume qu'elle est importante, impossible de voir à l'intérieur de la voiture, mais il n'ont certainement pas fait tout ce cirque pour un monsieur tout le monde)
De chaque côtés de la voitures 3 hommes de la sécurité escorte la voiture en courant. (Y en a un avec la tête blanche qui semble tirer de la patte!).
Derrière la voiture, un groupe de lanciés  à cheval ferme l'escorte.
Ces cavaliers paradants parmis ces édifices historiques en fond de décor sont beaux et impressionnant.
Les grilles du palais s'ouvre laissant passer le véhicule noir, alors que les cavaliers continues leur route.
Lorsque tout ce beau monde se trouvent à l'intérieur de la cour du palais.
Une autre fanfare accueil comme il se doit, ce haut dignitaire, en interprétant......je ne sais quoi, possiblement l'hymne du pays invité. 
Je soupçonne qu'il s'agisse d'un dignitaire italien, le drapeau Italien battait au vent au côté du drapeau Péruvien..........et il m'est venu une odeurs de pizza?
Pis après tout! Y peuvent biens accueillir qui y veulent.
Moi je reprend ma route.
Ma promenade me fait traverser le "Rio Rimac".
(Je pense bien l'avoir traverser? Mais j'ai pas vue d'eau! Mais! j'ai enjamber un pont)
Je suis dans le district "Del Rimac", mais autre que cette rue piétonnière, il n'y a pas grand chose, nous nous retrouvons dans les quartiers populaires.
Lorsque je retourne rejoindre ma douce moitié, il est 12:30hre.
<< Ça fait dont du bien des fois de partir seul comme ça! >>
<< Qu'est-ce que tu veux dire? >>
<< Bin quand t'es avec moi, je dois porter attention à pas te perdre >>
<< As-tu peur que je me fasse enlever? >>
.........Ça pas de risque.........
<< Non, c'est juste que dans cette foule, si on s'écarte l'un de l'autre, toi tu peu me voir, mais moi.....
Qu'est ce que t'en dirais si je t'attachais un ballon à l'hélium et que je l'accrocherais  avec une corde à ton poignet? >>
<< .......Tu sais oû te le mettre ton ballon? >>
<< Oui, oui....je sais >>
Après une bonne petite pause, je suis.....non! nous sommes repartis nous balader dans un autre secteur de la ville.
Mais moi qui pensais que Montréal était une ville agité.
Seigneur! C'est même pas comparable avec ici.
Lima est la plus vieille ville du Pérou, fondé en 1535 par le conquistador Francisco Pizarro. (C'est assez pour l'histoire)
Nous rejoignons un artère  principale de la ville, ça roule pis y a du monde ici.
<< T'es sûr que tu veux pas que j'achète un ballon? >>
(Comme réponse, j'ai eu droit à un regard qui en dit long)
<< Ok, bin tire moins fort sur mon chandail, svp >> 
C'est dingue, et ça klaxonne en débile.
Je me suis amusé à les regardés faire. Des autos sont arrêtés à un feu rouge, lorsque la lumière change au vert, tous les autos a l'arrière des premières voitures klaxonnent en voulant dire "dépêche toi est verte".
Merde! Donne lui le temps de lâcher ça pédalé à breaker.
C'est un réflexe, c'est sur.
Chez-nous il y aurait des tapes sur la gueule c'est certain.
C'est merveilleux de voir toutes ces vieilles bâtisses qu'il y a.
Elles ne sont pas seulement vieilles, elles sont immenses.




Le palais de justice est impressionnant par son gigantisme.
Bon assez la promenade, je sent que mon niveau de stress à monté.
Pour souper j'ai dit à Manon que ce soir, je me paie un bon hot-dog.
J'ai vue un petit Resto qui en avait. 
Saucisse coupé en tranche dans un pain hamburger, avec patates frites par dessus la saucisse dans le pain? 
Bon bin! Pourquoi pas!





dimanche 25 octobre 2015

Lima, Pérou

Jour 33

25 octobre 2015
WOW, c'est spécial les "bus cama".
Quand nous sommes entrés dans le bus on a été surpris par l'aménagement.
Bon faut commencer par dire qu'il s'agit d'un bus à 2 étages.
L'étage du haut c'est pour les "cheap" ceux qui veulent pas payer cher et avoir juste un banc qui incline.
(Je sais! C'est ça qu'on a pris voilà quelque jours)
Et l'étage du bas c'est pour les VIP, ceux qui se sont payé du luxe....comme nous.
Mais avant d'embarquer, là! c'est du sérieux.......c'est la fouille au détecteur de métal.
Faut pas oublié le préposé, qui lui, avant que nous partions est entré dans le bus et à filme à la caméra chacun d'entre nous. 
Bon, je disais donc, quand tu entre dans la section "cama"c'est comme si tu entre dans une capsule bien hermétique (non, je suis jamais entré dans une capsule hermétique......mais je suis capable d'imaginer, bon!)
Il n'y a que 10 bancs cama, (ça c'est un banc s'inclinant à 160o) très confortables, c'est pas les bus couchettes du Vietnam, oû il me fallait dormir position fétus (c'est pas grand un vietnamien). 
Chaque banc à son téléviseur, la lumière est tamisé et tous les rideaux son bien fermé, et en bonus.....une hôtesse de "terre" nous accueil.
Nous avons droit à une couverture et oreillé, des écouteurs pour la télé oû la musique, un casse-croûte, une consommation.
Je peu-tu vous dire qu'on a très bien dormir, jusqu'à 05:30hre oû l'hôtesse à ramassé couverture et oreillés.
Lorsque je regarde par la fenêtre, nous sommes arrivé à Lima.
Il est tôt et la ville est déjà animé. 
C'est triste, je ne vois de des bâtisses en béton, de grosses boîtes carrées.
Cette ville que nous voulions à tout prix éviter, nous y sommes.......en plein dedans.
Le temps est gris, on dirait que toute la ville est grise et moi aussi je broie du gris.
Ça doit être la fatigue, mais je me dit "qu'est-ce qu'on fout ici".
Pour continuer notre route, nous devons impérativement (un beau mot!) passer par ici .
On aurait pu reprendre tout de suite un autre bus et repartir continuer notre route, mais on a préféré prendre une journée pour récupérer, à la longue, le bus ça rentre dans le corps.
Pour faire une histoire courte, nous prenons un taxi et on se fait débarquer à la place d'armes.
On a toute une surprise. Une BELLE surprise. 
C'est grandiose, c'est propre, l'architecture est d'une rare beauté, bien conservé et bien entretenue.
Ce n'est définitivement pas le Lima que nous avons vue en entrant dans la ville.
Cette méga-ville de près de 8 millions habitants, dont peu de gens nous parlait en bien.
Nous avons bien hâte de la découvrir.
Mais pour l'instant, il nous faut trouver une chambre.
Pas évident à 06:30hre du matin.
Et il n'y en a pas beaucoup, surtout à hauteur de notre budget.
Nous ne voulons pas payer plus de 70 sol ($28.18).
Nous en avons visité et le meilleur prix qu'il nous fut demandé fut 120 sol ($48.36),
mais après une heure nous avons enfin dégoté notre perle au "Gran Hotel" il nous offre la chambre a 70 sol mais quand arrive le temps de payer, il demande 80 sol.
"La! T'as poigné un noeud mon gars!"
Il y a confrontation du regard.......et.........c'est moi qui a gagné.
<< Pour les fois que j'essaie ça avec Manon.......ça marche jamais!!! >>
<< De quoi tu parle? >>
<< Je suis entrain de dire que j'ai un regard perçant, intimidant! 
Pourquoi tu ris comme ça? >>
<< Toi? un regard perçant, intimidant!.....ppppf......
T'essaie de faire quoi avec tes gros yeux? >>
<< Là ti-gars, tu perd ton temps, si tu pense m'impressionner 
fini ton texte, oû vas prendre de l'air un peu >>
(Je vous l'ai dit, ça marche jamais avec elle).
Bon revenons à notre hôtel si ça s'appelle "Gran Hotel" c'est certainement pas par çà grande classe (c'est un étoile).
Mais ça doit être à cause de la grandeur des chambres.
Ça doit avoir environs 12 pi x 18 pi et 16 pi de haut, pas de farce, la fenêtre est en hauteur et je dois monter debout sur une chaise pour la fermer, notre porte de chambre a environs 10 pieds de haut, Manon a de la difficulté à rejoindre la poignée!
<< Aie! T'es farces plate.... >>
Avant de faire un petit somme, on vas aller déjeuner, mais comme de raison il n'y a rien d'ouvert avant 08:30hre. on n'a fait une balade jusqu'a la place d'arme.
Il y a de l'activité qui se prépare. Les rues sont fermés aux autos, il y a des barricades et beaucoup de sécurité.
Vers 09:30hre. en retournant l'hôtel, nous nous retrouvons dans une sorte de parades, il y a foule.
La parades se compose de plusieurs groupes de gens, dont chaque groupe sont habillés différemment, masqué et très multicolore.
Chaque groupe semble avoir chacun leur danse rituel avec musique, et tous ce beaux mondes se dirigent vers la place d'armes.




Il y a beaucoup de fébrilité dans l'air.
La parade passé, nous retournons à notre chambre pour récupérer le temps de sommeil manquant.
Vers 13:00hre nous retournons sur la place d'armes.
Plus nous nous en approchons, plus il y a de monde.
La place d'armes est bondé de monde.
Les gens suivent du regard une étrange cérémonie. 
Il y a deux groupe d'homme (environs 30 par groupe) qui supportent sur leurs épaules 
soit pour un, une statue d'une sainte et pour l'autre, une statue d'un saint, et ça semble vraiment lourd.
La procession avance très lentement à petits pas sur au plus 100 pieds, dépose la charge, se repose environs 5 minutes et reparte. 
Chaque statue est devancé de femmes faisant brûler de l'encens et marchant à reculons??
Il font le tour de la place d'armes et je peu vous dire qu'ils en ont pour la journée.
De notre côté nous partons arpenter les rues adjacentes à la place d'armes.
Ça vas tellement bien, toutes les rues sont interdit aux autos.
Mais seigneurs! Y a du monde, on a bien hâte de voir demain, s'il y auras autant de monde?
Les bâtiments, l'architecture, c'est tout simplement d'une beauté sans pareil.
C'est un plaisir pour les yeux.


Quelques heures plus tard, nous repassons par la place d'arme, la procession arrivait à ça fin.
"Si j'ai bien compris la procession est pour fêter le jubilé (800 ans) de l'ordre "Praedicatorum" des "prêcheurs" fondé par Saint Dominique en 1216.
Nous retournons à notre chambre vers 18:00hre c'est encore plein de gens dans les rues.
Pour nous ce fut une belle journée bien animée, ça fait changement d'hier.
Demain on a encore plein d'autre rues à visiter.