vendredi 22 janvier 2016

Buenos Aires, Argentine

Jour 119
20 janvier 2016
Pas très palpitant aujourd'hui.
Ce matin on s'est payé le luxe d'emporter nos vêtements dans une buanderie pour un bon lavage, pis en plus on ne lave pas nous même, on les fait laver.
On est tanné de laver nos vêtements avec nous dans la douche, pis la chiure de pigeons dans mon fond de culotte!!! c'est ça qui nous a décidé de tout faire laver.
Tout devrait être prêt demain matin.
Seconde tâche de la journée!
Trouver une coiffeuse pour madame, elle a la raie qui blanchi.
!!! Attention! Entendons nous bien.
Si je dit qu'elle a la raie qui blanchi et que nous cherchons une coiffeuse, vous avez compris que je parle de ça raie de cheveux qui a besoin d'une retouche de teinture hein!
Ça c'est sacré, yé pas question qu'elle revienne à la maison avec "un seul cheveux gris".
Mais trouver une coiffeuse ici! C'est pas évident.
C'est surprenant, dans les autres pays que nous venons de traverser, il y en avait dans pratiquement tous les rues, la difficulté était de choisir le bon, mais ici c'est rare comme de la..........de pape.
Pas de farce depuis que nous sommes ici on en a vue que deux.
Mais bon côté à nos recherche, je suis tombé sur une statue de Mafalda.
Sur un coin de rue se trouve une réplique de Mafalda et deux de ces amis.
Comment? vous ne connaissez pas Mafalda?
Ceux qui me connaisse savent bien que j'aime les bandes dessinés (hé oui! j'ai gardé ce côté enfant) 
Mafalda est une petite fille, personnage principal d'une bande dessiné publié de 1964 à 1973. 
Comme son auteur Quino de son vrai nom Joaquin Salvador Lavado Tejón, Mafalda est argentine, elle est issue de la classe moyenne. 
Il s'agit d'une bande dessiné à caractère plutôt politique.
Mafalda développe une vision du monde critique à l'égard de la mondialisation, et du militarisme.
 Elle a du caractère et réagit à tout ce qui se passe autour d'elle et à ce qu'elle lit dans les journaux. 
Elle a une représentation du monde, monde qu'elle juge malade.
Mafalda est devenu une icône en Argentine.
Vous l'avez certainement déjà vue, mais son nom ne vous dit rien.
La jeune fille aux cheveux noir assis à mes côtés c'est Mafalda accompagné de ces amis Manolito et Susanita.
Après la séance photo, nous poursuivons nos recherche pour trouver une coiffeuse.
C'est sur la rue Florida, qu'on trouve un salon, le seul sur cette rue.
Pendant que Manon se fait peinturer la raie........je veux dire teinturer.........je sais pas si ça se dit comme ça! mais vous avez compris.
Moi je m'installe dans un café et effectue des recherches pour trouver une chambre à Puerto Iguazu, notre prochaine destination.
Nous quitterons Buenos Aires samedi le 23 janvier, nous prendrons l'avion jusqu'au limites de l'Argentine et du Brésil, pour aller voir les chutes Iguazu, un site majeur en Amérique du Sud qu'il ne faut pas manquer.
C'est à moi qu'incombe la tâche de trouver un hébergement.
C'est une heure trente plus tard que Manon me rejoins alors que j'ai trouvé une auberge.
<< Belle job, ça te rajeuni! >>
<< Tu veux dire quoi par ça? >>
(Ça y est! j'me fais toujours poigner, j'veux la complimenter, mais j'mis prend mal!)
<< Je veux juste dire que tu es jolie.....pis j'ai trouvé un hébergement avec piscine à Puerto Iguazu, regarde leur site (avez-vous vue comment je glisse subrepticement vers un autre sujet! ça c'est l'expérience, c'est ma technique pour me sortir de ce genre de merdier).
Un peu de magasinage pour terminer la journée et retour à la chambre.
J'ai oublié de vous dire, il a plu àujourd'hui. 
Il est tombé au plus 1/2mm de pluie, ça duré un bon 3 minutes, même pas de quoi arroser les fleurs, pis avec ce 30 degré tout à séché tout de suite.
  





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