lundi 28 septembre 2015

Baños, Equateur

Baños Jour 6

27 septembre 2015
Surprise! Le déjeuner est excellent et consistant. Nous avons eu droit à deux oeufs avec pains, salade de fruits et café, WOW.
Demain j'essai les crêpes.
Sur l'horaire ce matin, une marche jusqu'au chute de la "Virgen de Agua Santa" et balades dans les "calles" (rues) de la ville.
J'ai dit la ville, mais ici ça ressemble beaucoup plus à un gros village.
Ça ne ressemble vraiment pas à une ville de 20,000 habitants.
Baños est construite dans une vallée, tout autour ce sont des montagnes, nous sommes dans la partie de la cordillère oriental des Andes, c'est assez impressionnant.
La chute de "Virgen de Agua Santa" est visible de notre chambre d'hôtel.



Ce n'est pas une chute impressionnant par sa dimension, mais beaucoup plus par la hauteur. Son eau est également reconnu pour ces bienfaits, les gens viennent emplir des bouteilles, tu peu même acheter une cruche que tu peu remplir, avec l'image de la vierge.
Nous poursuivons notre marche en longeant les montagnes et nous arrivons au marché du dimanche. 
C'est un très beau marché de fruits et légumes.
Contrairement aux marchés qu'on a vue en Asie, celui-ci est très propre et attrayant.



Après s'être délecté avec quelque croustilles (on a pas pu résister au grain de maïs rôties).
Nous reprenons notre marche jusqu'au un pont enjambant la rio Pastassas.
De sur le pont, la vue de la rivière sillonnants entre les montagnes est impressionnant! 


Mais c'est encore plus impressionnant et palpitant d'emprunter un sentier qui nous conduit sous le pont, et nous permettant de nous rapprocher de la rivière.


Plus on se rapproche du Patassas, plus nous sommes émerveillés par le décor qui s'offre à nous.  Impressionnant de voir comment cette riviere, qui pendant des milliers d'années a creusé la montagne, traçé son chemin au gré des rochers et sculpté des falaises sur les bords desquelles une ville est né.


Le petit sentier nous éloigne des bruits de la ville, mais nous rapproche du grondement de la rivière. 
Un fragile petit pont suspendu nous permet d'atteindre l'autre rive.


Mais là, il faut remonter et de l'autre côté, le sentier n'est pas évident.
Je crois que très peu de gens remonte de ce côté de la riviere. 
Mais notre côté "aventureux" prend le dessus.
Nous empruntons se qui ressemble à un sentier improvisé! se qui n'est pas évident.
Ce sentier n'est vraiment pas utilisé souvent, mais ça nous a permis d'autre belles vues sur la rivière.

De retour sur le pont principal, une petite....non! une grande pause est nécessaire.
En voulant traverser le pont pour nous diriger vers la ville. Nous voyons un attroupement.
À notre approche, nous remarquons une jeune fille debout sur le parapet du pont.
Serait-ce une jeune déprimée voulant mettre fin à ces jours?
Bin non! Les gens son trop joyeux.
Il s'agit de jeunes à la recherche de sensations fortes pratiquants le "bongie".


Ça doit vraiment être tout un trill de se lancer dans le vide comme ça, surtout ici accroché au pont avec l'équipement qui ne m'inspire pas confiance.
Mais même chez-nous, je n'aurais pas confiance, j'en ai tellement brisé d'élastique dans ma vie, que j'aurais peur de brisé celui-ci.
De toute façon, j'ai une bonne excuse, le bongie n'est pas couvert par notre assurance, sinon c'est certain que j'y serais aller.
<< Toi tu sauterais dans le vide comme ça? >>
<< Bin quoi! je l'ai déjà fait >>
<< Toi!! t'as déjà sauté dans le vide? >>
<< En 1976 madame..........quand je t'ai marié! >>
<< ....Bin ok....... T'as m'a permission de le faire pour une 2ème fois? >>
<< Non! merci madame. J'ai compris la première fois! >>
Pendant qu'elle fulmine, je m'éloigne lentement...est bin capable de me pousser en bas du pont.
Après avoir dégusté une bonne soupe au poulet et une salade de fruit (on a compris leur portion sont tellement grosse, que pour le dîner nous prenons une seul portions avec 2 cuillères. Ça c'est d'être cheap) nous sommes revenu à notre chambre pour nous reposer.
A 16:00hre c'est notre "happy hour".
Une bière du pays pour moi "Pilsener" une grosse a $1.10 et un verre de vin Chilien pour Manon. L'Equateur ne semble pas produire de vin.
Un jeune couple de Belge c'est joint à nous, nous avons échangé sur tout et rien.
Des jeunes très sympathique, c'est la jeune fille d'ailleurs qui a sauté en bongie à notre arrivé sur le pont.
Ils nous font part qu'ils ne peuvent se permettre de sauter en bongie en Belgique, c'est trop dispendieux, environs €125. 
Alors qu'ici ça ne coute que €25. 
Pour moi c'est une raison de plus pour ne pas sauter.
Mon "trill" à moi c'est de goûter à des mets qui me soit inconnu, pas de danger que je meure (je pense!) et c'est couvert par mes assurances.
Ce soir nous devions déguster du cochon d'Inde. Nous avions trouvé un endroit où ils en faisaient cuire sur BBQ, mais à notre arrivé il n'y avait plus personne.
Ce n'est que partie remise. 
Mais c'est certain que je vais en manger avant de quitter l'Equateur.
Selon certaines personnes ça goûte le lapin.

PS: Comme vous avez constaté, il m'arrive de ne pas être toujours ponctuel avec mes écrits. Je m'excuse auprès des gens qui, le matin, nous lis en sirotant leur café.
































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